Bagage à main,
Puzzle, Poisson Volant. Trois pièces, trois thèmes intemporels pour Guy Coda qui fait cohabiter humour et gravité. Un pur bonheur!
Deux douaniers tentent vainement d’ouvrir la valise vide d’un voyageur bien énigmatique…
Un peintre rassemble les morceaux épars d’une vie tiraillée entre création et sociabilité…
Un poisson qui n'aime pas l'eau est passionnément amoureux d’une oiselle…
Que me reste-t-il de ma vie, vivre pour son talent d'artiste ou s'abandonner au plaisir du contact avec autrui, l'amour donne-t-il vraiment des ailes ? Trois thèmes intemporels pour ces 3 pièces de théâtre que Guy Coda montera à l'automne à Chartres.
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Bagage à main(ebook)
Puzzle, Poisson Volant, trois pièces, trois thèmes intemporels pour Guy Coda qui fait...6,99€ TTC
Commentaires
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- 1. Daniel JAOUEN Le 27/10/2021
Guy Coda, peintre de son état, se plaisait déjà à peindre des âmes avec talent…. Et voilà que dorénavant il se met à les faire parler… Déjà Blaise P. constatait en son temps que tout le malheur des hommes vient de ne pas savoir demeurer en repos seul dans une chambre. A son tour l’ami Guy interroge cette force centrifuge mystérieuse du vide qui a le pouvoir de mettre en branle les hommes et de les faire tourner en rond… Maudite Valise ! Et c'est depuis toujours sans fin. A moins qu’un salvateur éclair de conscience ne les fassent suivre enfin le conseil de Blaise P. de rester dans leur chambre pour déguster ces excellentes courtes piéces. -
- 2. guy coda Le 05/10/2021
Voir la pièce qu’on a écrite jouée pour la première fois en public, même s’il ne s’agit que d’un extrait, est une vraie charge émotionnelle pour un auteur.
C’est ce qui s’est passé, lors de la séance de dédicaces de mon livre, vendredi 01 octobre à la librairie « l’Esperluète » à Chartres pour « bagage à main »
Le public était présent : Editeur, libraire, amis, famille, venus parfois de loin.
Les acteurs « ont fait le job », comme on dit, avec talent et générosité.
J’ai vécu ce soir-là un moment rare.
Merci à eux tous -
- 3. SANCHEZ Henri Le 29/09/2021
Avec audace et irrévérence, humour et légèreté, G. CODA nous entraine dans son univers : les idées décriées y sont re-légitimées , la norme y devient vite absurde, dans des incarnations savoureuses, esquissant un monde original, ouvert au choc des idées , parfois sombre , toujours généreux et fraternel.
L'écriture est fluide, déliée, précise, comme une évidence qui nous arrime sans coup férir aux récits.
A quand la prochaine publication ? -
- 4. MIchèle B . C Le 29/09/2021
Quel drôle d'oiseau que ce Guy Coda...
entre deux gares il nous balade dans un temps ou l'absurde est préhensible, la vie tout entière un puzzle étrange .
Monde de paroles et de symboles ou l'incompréhension, l'usure , est maitresse .
Cauchemar éveillé du temps qui s'écoule.
Trois pièces , trois quêtes de soi et des autres ou l'Art omniprésent est vécu à la fois comme cause et rédemption ;
Coda nous tisse une "vie des bêtes " à la Reiser .Qu'ils soient vêtus de peau ou de plumes, drôles et acerbes à la fois .
Comment ne pas être touché par leur humanité ,face a l'inéluctabilité (tragique mais pas affligeant , ha ha...!) de leur avenir. -
- 5. Alain Charcosset Le 27/09/2021
Superbes moments d'imagination poétique, où celle de Guy Coda stimule la nôtre. Puzzle déstructure le temps et l'histoire du personnage s'éclaire. Bravo. -
- 6. Enko Lodar Le 29/08/2021
Entre le théâtre de boulevard et la grandiloquence du théâtre classique, il y a un espace singulier, l’espace du quotidien, le mien, le vôtre, celui de chacun, et qui, lui aussi, est parfois le théâtre d’une dramaturgie qui peut aller bien au-delà du banal fait-divers.
Et c’est ce que Guy Coda nous montre à travers ces trois pièces : quoi de plus banal en effet, que la rencontre d’un voyageur avec deux douaniers, les tribulations domestiques d’un artiste pétri de doutes, ou les efforts attendrissant de celui qui veut s’élever au-dessus de sa condition pour séduire l’être aimé ! Et pourtant, dans ce trois récits, entre humour et gravité, l’auteur nous emporte dans un inventaire des passions et travers humains que ne renieraient pas un Beckett ou un Ionesco.
Un pur bonheur -
- 7. Jean Luc Genin Le 09/08/2021
lisez Guy Coda , vous verrez ses personnages se jouer de l'absurdité des choses de la vie...
Vous écouterez l'artiste hors cadre , ne vivant que pour retrouver sa toile inachevée...
Et vous tomberez sous le charme d'une fable ; deux êtres en quête d'un amour improbable pris sous l'aile de la poésie. " -
- 8. Spianti Le 30/07/2021
"La rivière qui reflète le ciel, ne l'emporte pas avec elle."
Deux douaniers, un voyageur et un bagage à main. Voilà les personnages.
Une pièce métaphysique à souhait. Tout semble simple, mais l'administration des choses confiée à des douaniers
ne fait pas forcément bon ménage avec un individu qui vit poétiquement. Deux logiques irréconciliables s'affrontent .
La pièce évolue autour de thématiques qui pourraient s'énoncer ainsi: De quoi le vide est-il plein et pourquoi y-a-t-il quelque chose plutôt que rien? Vaste projet! Une langue incisive et alerte. Les dialogues sont vivants et drôles. Guy coda nous transporte en "absurdie". Ce qui ne manque pas de piquant.
Une apparente simplicité qui incite à penser, à rêver.
Tout simplement superbe. -
- 9. Paulus Itten Le 27/07/2021
L’auteur nous propose ici un inventaire (non exhaustif) des difficultés, voire de l’impossibilité d’être un humain accompli dans un monde qui laisse peu d’espace à l’erreur.
Il y a une pincée de Beckett, une goutte de Ionesco, un soupçon de Brecht et pas mal d’humour dans ces trois pièces qui nous promènent d’un univers à l’autre pour notre plus grand plaisir ! -
- 10. Marc Lécureur Le 27/07/2021
Un très bel ensemble qui mérite la scène et toute sa créativité. Une mention particulière pour Puzzle tant dans son thème que dans sa facture très actuelle. -
- 11. jllecorre Le 26/07/2021
Trois thèmes universels pour ces pièces : la vacuité de la vie, la solitude de l'artiste et l'amour impossible, joliment traités par Guy Coda. Sa plume pleine d'humour, de dérision et même de poésie pour "Poisson volant" rendent ces pièces savoureuses malgré la noirceur des thèmes.
Des représentations bientôt ? -
- 12. JEAN-LUC AUDOUIN Le 07/07/2021
Coda nous livre une introspection terriblement noire qui nous éclate en pleine figure. Des tranches de vie sculptées avec un bistouri particulièrement aiguisé, ne retenant que ce qui ne parait être que l'essentiel. De 'Puzzle' jaillit des moments forts, qui pourraient très bien venir de nos propres souvenirs, chamboulant nos ressentis présents.
De 'Bagage à main' suinte un humour noir et une situation en équilibre instable entre Calaferte et Kafka. Des dialogues référencés où on a l'impression, parfois, d'entendre L.F. Céline, crier : 'Tu l'as dis bouffi'.
Chacun trainant son bagage intellectuel comme il peut.
Trois pièces en forme de poire verte dirait Satie. Belle à voir, un peu acide, des pièces qu'on oublie pas.
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